- Aperçu des services facilitaires selon EN 15221
- Les services facilitaires dans le Codex ‘Le bien-être au travail’?
- Gestion des risques, le Dynamic Risk Management System et le ‘order model’
- Le FM, adapté à la mission, la vision et les objectifs de l’organisation (Strat/Tac/ops)
- Le plan global de prévention (PGP) et le plan d’action annuel (PAA): un pilotage à partir d’une vision politique
- Les rôles et les responsabilités au sein de la politique ‘bien-être au travail’.
Remarque : Mintzberg
- Une politique de bien-être, intégrée dans les processus primaires et opérationnels
- La conformité des bâtiments
- La conformité des équipements de travail et des installations
- Une «stratégie de conformité» appropriée
- Gestion de modifications: l’importance de la gestion des données et des processus et l’approche ‘chaîne’
- …
Après avoir jeté un coup d’œil sur le Codex «Le bien-être au travail» et avoir déterminé où le FM est impliqué, nous passons au cœur de la prévention: la gestion des risques.
Au mieux, le bien-être est ancré dans les processus de l’employeur, mais qu’est-ce que cela signifie pour les processus du support et facilitaires, ainsi que pour leur gestion, du niveau politique au niveau opérationnel?
Là où l’approche du facility manager accentue des services orientés client, le conseiller en prévention tend à travailler dans le sens de la standardisation. Comment peuvent-ils se renforcer mutuellement?
Un risque est un fait très dynamique. Il est au cœur d’un système comportant plusieurs facteurs de risque pouvant, en effet, évoluer et interagir en permanence. Les risques peuvent donc évoluer très rapidement et en continu. Comment s’y prendre lorsque ni le conseiller en prévention ni le facility manager ne peut assister à toutes les activités de l’entreprise/organisation?
Cette session n’est pas un exposé «ex cathedra». Elle vise à l’échange des expériences basées sur un certain nombre de questions fondamentales, afin de mieux comprendre comment la collaboration entre FM et prévention peut offrir une plus-value. Tout en tenant compte que les deux fonctions partent d’une perspective différente en ce qui concerne le client.